Auteur : Sylvie Arkoun

Sylvie Arkoun

Vous avez déjà fait des travaux ?

C’est une expérience qui s’apparente à un trekking de 3 mois au Népal alors qu’on n’a jamais marché plus de 3 heures dans les Vosges. Avec en ligne de mire, un endroit fantasmé, le toit du monde.

La première fois que je suis passée devant la galerie Isabelle Subra Woolworth au 51 rue de Seine, je suis tombée en arrêt devant la beauté des bijoux anciens présentés en vitrine, mais je n’ai pas poussé la porte.

J’étais pressée, et sans doute aussi, impressionnée.

En ces temps de semi-confinement chronique, Instagram est une lucarne ouverte sur le  monde. Ça donne l’impression d’une pseudo normalité, mais comme tout pseudo, ce n’est qu’un emprunt à la réalité, qui elle, malheureusement, est en train de se vider d’une grande partie de son contenu.

La beauté, etc…

La beauté, c’est l’alpha et l’oméga des discussions avec mes copines, le marronnier des journaux féminins et des siècles de quête d’un Graal qui se joue de nos fantasmes. Bref, c’est un sujet qui touche au cerveau néandertalien de la moitié de l’humanité.

Ça faisait un moment que je voulais en parler, mais j’hésitais à faire une incursion sur le terrain de Sophie Davant, son positionnement de  « vieille jeune » / « jeune vieille » pythie de la beauté est indétrônable.

L’année du serpent

Autant j’ai les serpents en horreur dans la vraie vie, autant je les vénère quand ils sont coulés dans l’or ou l’argent et sertis de pierres précieuses.

En cela je rejoins Cléopâtre et Liz Taylor, toutes proportions gardées.

Ça fait un bail que je cherchais un homme à interviewer, parce qu’au niveau parité dans mon blog, je ne suis pas du tout dans les clous.

Ce n’est pas de la mauvaise volonté, mais dans les bijoux et la création au sens large, je rencontre plus souvent des femmes que des hommes et je le déplore. En amitié, dans le travail, en amour ou en général, personnellement je ne pourrais pas me passer des hommes, n’en déplaise aux warriors du féminisme radical…

Les petites nouvelles 4/4 : Magali

Magali Pont est-elle vraiment une petite nouvelle de la création de bijoux ? Oui et non pas du tout, mais comme elle vient de lancer sa marque éponyme, j’ai eu envie de la retrouver et de vous la présenter avec un œil neuf.

Six années se sont écoulées depuis notre dernière rencontre, elle a fait du chemin depuis.

Les posts que j’écris en ce moment sont des souvenirs très récents. Juste avant le confinement saison 2, du temps où l’on pouvait encore aller dans une boutique pour voir, rêver, toucher, essayer, un bijou.

Fin octobre, j’avais rendez-vous avec Alexandra Makowski, la fondatrice des boutiques Birdy.

Les petites nouvelles 3/4 : Claire

La troisième rencontre de ma journée découverte ressemble à un speed-dating.

Je ne connaissais pas la créatrice de la marque yv.delloye que j’allais rencontrer. J’avais découvert ses créations chez By Marie il y a quelques mois et j’avais flashé sur ses bagues en tourmalines baguettes.